Témoignages des jeunes

Le film « Passages » a été réalisé afin de permettre aux jeunes accueilli-e-s à Cité Printemps de s’exprimer (art. 13 CDE) et d’être entendu-e-s (art. 12 CDE) au sujet de leur placement. En ce sens, ce documentaire favorise les droits participatifs inscrits dans la Convention internationale relative aux droits de l’enfant de 1989. Ce court-métrage participe également à déconstruire certains préjugés accolés aux enfants placé-e-s et donne une image plus réaliste de ces jeunes.

Plein de vie, plein d’émotion, de joies, de déconvenues aussi ce film est une volonté de montrer sans fausse pudeur ce qu’il se passe derrière les murs de l’institution. Ces murs qui protègent ne doivent pas fermer, la caméra est allée rejoindre les jeunes dans leur milieu familial, dans leur classe d’école, leur club sportif, chez leur patron, etc. En questionnant les autorités de protection de l’enfant, les patrons, les enseignant-e-s, les éducateurs/trices, les parents et bien sûr les jeunes, ce film montre pourquoi il vaut la peine de miser sur la jeunesse.x

Lien pour le film

Article paru dans le magazine Résonnance

Podcast du SCJ : émission du 12.02.2021

f« Cité printemps : une maison aux multiples visages, des perles de vie à récolter au creux des difficultés familiales. Au travers du chemin de Corentin, Marie, Alexie, Gaëtan, Maïwen, Jason et tant d’autres, ce documentaire de 30 minutes nous fait découvrir une variété d’histoires de vie parfois très cabossées. Ces jeunes trouvent refuge le temps d’un passage à Cité Printemps. Ils y puisent une force de reconstruction et d’appel à la vie malgré les difficultés rencontrées.

Un placement est toujours exigeant, la vie en groupe n’est pas toujours aisée. Les éducateurs sont présents pour accompagner au mieux et favoriser le lien avec les parents. Cité Printemps : Une présence qui veille. »

Gaëlle May, cinéaste, réalisatrice du film

Témoignage d’Enzo à Rhône FM le vendredi 09.06.2023

Intervention de Théo au Grand-Conseil valaisan le mardi 13.09.2022

Dessin de Besiana pour la rapport annuel 2017

Sur la partie du bas, j’ai dessiné deux enfants.

Une fille, un garçon.

Des racines les entourent, les protègent.

Comme des parents, des éducateurs.

Les racines se sont les bases d’un arbre.

Les parents se sont la base de l’enfant.

La base de la vie.

Sans racines, il n’y a pas d’arbre.

Sur la page du haut, il y a la fille qui a grandi.

Elle est devenue danseuse.

Le garçon a grandi, il est devenu musicien.

Grâce aux bonnes bases (racines) ils ont fait grandir l’arbre.

Et il a fleuri.

Besiana